Monique Chignier est l'auteure de trois romans contemporains dans lesquels elle observe, avec humour et poésie, les relations entre hommes et animaux. Mais surtout elle tisse des liens entre des personnages que rien ne prédisposait à des  rencontres qui vont pourtant modifier leur destinée.

Son écriture mêle la mémoire intime à celle de la grande Histoire. Ses romans, «Une pluie grise et fine», «Léonard ou les odonymes du cancer» et «L’envers du voyage» mettent en scène des personnages enclins à vivre leurs passions dans le tourbillon de l’Histoire. À l’affût des passions humaines, l’auteur est attentif aux mouvements sociaux actuels. Soucieux du devenir de l’humanité, son écriture plonge dans les mémoires individuelles et collectives afin de mieux comprendre les agissements et les errements de l’être humain.

Passionnée de lecture et d'écriture depuis sa plus tendre enfance, Èvelyne Château a été infirmière de bloc opératoire avant de devenir professeure de lettres/histoire en lycée professionnel, métier qu'elle exerce avec passion au Puy en Velay depuis 2003. Ses enfants volant aujourd'hui de leurs propres ailes, elle a désormais le temps de se consacrer à l'écriture et de coucher sur le papier les histoires qui naissent dans sa tête. Elle est notamment l’autrice d’une saga de fantasy, Le Bracelet de pouvoir.

Thierry Dadolle, 52 ans, ancien comptable, est aujourd’hui auteur et éditeur à Vorey-sur-Arzon. Il se veut un conteur d’histoires plus qu’un littérateur. « Amazones » a été son premier roman. Sous le pseudo de Jean Dominique, il s’essaye au roman policier humoristique.

Alexis BRETON est né à Nancy en 1980 et réside en Haute-Loire depuis 2006. Il est écrivain, musicien et diplômé d’un master de psychologie. Il est l’auteur de plusieurs romans, tous publiés à compte d’éditeur, et de nouvelles parues dans des recueils. Ces derniers s’inscrivent au sens large dans la littérature de l’imaginaire, de la fantasy au fantastique, en passant par l’épouvante et le paranormal. La Sarabande des vierges maudites, son dernier ouvrage, sorti en août 2024 aux Éditions du Bord du Lot.

Anne COMTOUR vit en Auvergne depuis la nuit des temps. Plus récemment, elle est devenue poète, romancière, danseuse, choriste, kayakiste et quelque peu harpiste. Elle nous révèle la vie, les œuvres des beaux et surtout des belles du temps passé : Sofonisba, Les Dames de Ferrare, Judith Leyster, peintres et musiciennes glorieuses puis oubliées ; Anne de Joyeuse, Gallou (artiste du temps présent). Dans ses nouvelles, elle sourit à la vie qui se moque, sauf de ceux qui la croquent : Bye Bye Vermeer, La Micale et la Fourgi. Sofonisba est disponible en italien. La Proposition, biographie romancée de Judith Leyster, est traduite en néerlandais.

L'autrice Gaëlle Diraison possède plusieurs masques. Professeur de français et d'art dramatique à St-Julien-Chapteuil, musicienne, peintre et comédienne. Son roman "L'émoi des masques", édité chez l'Harmattan, invite qui veut à un saut vertigineux dans les parts d'ombre et de lumière qui se dissimulent en chacun de vous, de nous tous qui se cachons derrière d'innombrables masques.

J’aime jouer avec les mots, comme d’autres avec les couleurs. Les sons, les tournures de phrase, le verbe est si riche… Poète depuis toujours, j’ai publié plusieurs recueils, ai été honoré de quelques prix avant de m’initier à la prose par l’écriture de nouvelles. Mon premier roman a ensuite vu le jour en 2008 et j’ai publié cette année mon 13e livre, «Le bal des prénoms». Les éditions du Mot Passant diffusent ce roman et les 2 précédents «Les pommes de terre à la cloche» et «L’odeur de la craie». Histoires locales, terroir, biographie, intrigues, amour, humour, je pince plusieurs cordes.

D’infirmières, Maryse Fraisse et Marie-Thé Sentenat sont passées écrivaines, mercredi. Elles viennent de publier un livre. Un ouvrage écrit « par devoir de mémoire et en hommage à la profession soignante ».Il s’intitule Une histoire hospitalière au Puy-en-Velay, de l’hospitalité médiévale aux soins du XXe siècle. « Cette histoire, ce n’est pas celle des hôpitaux, précise Marie-Thé Sentenat. C’est la nôtre ». Et par extension, celle de l’ensemble des personnes qui, à leur image, ont dédié des décennies de leur vie à soigner les habitants du Velay au sein des établissements de la ville préfecture, de l’Hôtel-Dieu au centre hospitalier Émile-Roux, en passant par l’Hôpital général de la cathédrale et la clinique Bon Secours.